Cette année, Silly Boy Blue est de retour avec Eternal Lover, son deuxième album. Il fait suite à Breakup Songs, un premier album paru en 2021 et suivi d’une tournée de plus de 40 dates, une Gaîté Lyrique complète, une nomination aux Victoires de la Musique, un morceau retenu par Netflix pour la série “Plan Cœur” et une réédition augmentée, Breakup Songs Extended, à la fois prolongement et point final d’une folle aventure dans les retranchements de la rupture amoureuse.

Eternal Lover est la suite naturelle de Breakup Songs : après les tourments, la nostalgie et l’introspection, place à l’empowerment et au retournement de situation. Les histoires d’amour ne sont plus subies mais vécues pleinement, dans le contrôle et en conscience, avec ce qu’on néglige trop souvent dans son amour de l’autre : l’amour de soi. Car oui, d’amour il est toujours question dans les nouvelles chansons de Silly Boy Blue.

Ce deuxième album a été écrit et enregistré entre la France et l’Angleterre, à Londres, où la solitude a façonné ces douze titres arrangés ensuite avec le producteur Paco Del Rosso. De la ballade futuriste aux audaces pensées pour la scène, de la fausse bluette pop rock aux coups de sang plus synthétiques, Eternal Lover explore de nouveaux registres musicaux et une tonalité cinématographique plus radicale, que Silly Boy Blue a nourri de ses expériences ces deux dernières années.

Le titre de l’album, Eternal Lover, est tiré des paroles de la chanson Widow Dreams Forever, qui parle d’amour et de mort, avec un peu d’humour aussi, car les trois ensemble vont si bien à Silly Boy Blue. Eternal Lover, c’est l’image de l’éternelle amante et de l’éternelle amoureuse, dont l’émotion devient universelle. C’est une icône, comme le suggère la pochette de l’album, réalisée par le duo d’artistes cultes Pierre et Gilles. C’est enfin une promesse artistique tournée vers l’avenir et le temps long, en attendant les prochaines histoires à partager.

Claire days navigue depuis 3 ans dans les eaux douces et sombres de la folk. Au fil du temps, elle a construit, enrichi sa musique avec minutie et subtilité jusqu’à lui donner cette énergie rock qui fait sa particularité aujourd’hui. En solo initialement avec sa guitare nylon, elle présente maintenant sur scène une configuration efficace accompagnée de claviers, de basse et d’une batterie, et n’hésite pas à jongler entre guitare électrique et guitare acoustique.

Depuis quelques mois, elle travaille sur son premier album, coréalisé avec l’artiste Fink (UK) et projette une sortie en 2022. Il s’agit d’un moment crucial dans le développement du projet, qui ne pourrait qu’être consolidé par un passage au MAMA. En effet, il ne manque plus qu’un label pour concrétiser avec brio ce projet d’album et lui donner la visibilité qu’il mérite, et le MAMA pourrait être une très belle occasion de rencontrer les professionnels adaptés. Ce serait également l’opportunité de présenter le live à Paris, aux programmateurs et aux programmatrices de la France entière et de faire passer un cap au projet en lui permettant de sortir de la sphère musicale Rhône-alpine.